jeudi 6 août 2015

La musique sénégalaise traditionnelle : le Sabar, le Yéla et le Jambadong




 La musique sénégalaise traditionnelle : le Sabar, le Yéla et le Jambadong

PLAN

INTRODUCTION GENERALE
I /  Le Sabar
1/  Origines
 1-a) La fabrication du sabar
 1-b) Les différents instruments du sabar
 1-c)  Le déroulement du sabar
 1-d)  Les fonctions du sabar avant et aujourd’hui        
2/  Evolution
3/  Perspectives

II/ Le Yéla
1/  Origines
2/  Evolution
3/  Perspectives

III Le Jambadong
1/  Origines
2  /Evolution
3/   Perspectives
CONCLUSION GENERALE
SOURCES :

INTRODUCTION GENERALE

 La musique existe dés le commencement des temps et ses origines se confondent avec celle de l’homme. De cet art primitif dont le rythme est l’un des premiers éléments les plus anciens de la civilisation du globe, elle garde en   core quelque trace et certaines pratiques. Le Sénégal fait parti des pays d’Afrique détenant une riche diversité culturelle musicale qui, dans son ensemble nous retrouvons des rites et traditions musicales distinctes. En effet, la musique sénégalaise dans sa diversité rythmique traditionnelle fait l’objet de notre travail plu particulièrement le Sabar, le Yéla et le Jambadong.


I)                   LE SABAR
1-  ORIGINE DU SABAR
D’origine sérère, le sabar signifie à la fois un instrument de percussion, un style de musique, une forme de danse sensuelle (appelé lambeul en wolof) et une fête traditionnelle plus populaire au Sénégal et en Gambie. Le Sabar est un terme générique qui désigne à la fois la circonstance, l’ensemble des tambours qui servent à l’animer et l’un des rythmes qui y sont joués chez les Wolof. La musique et la danse ont une forte valeur sociale ; elles accompagnent tous les événements qui rassemblent une communauté. Chez les Wolofs, ce sont les femmes qui détiennent la plus grande partie de ce patrimoine musical. Elles participent aux différentes étapes de la vie, le baptême, la scarification des filles, le mariage… Si l’événement se déroule le jour, après la prière de l’après-midi (Timis), il s’appelle sabar ; s’il a lieu le soir, il se nomme tànnëbéer.
1 -a La fabrication du sabar
Les boisseliers (laobes en wolof) spécialistes dans le travail du bois, se chargent de la forme et de la transformation du sabar. Ainsi, l’huile de palme rend éclat le corps de l’instrument. Le fut est construit d’une membrane en peau de chèvre rasée, tendue par des cordes, des minces en coton et des chevilles en bois, aux nombres de sept en référence aux sept instruments qui composent généralement l’ensemble musicale. Et le griot se charge de l’assemblage.
La fine baguette appelée galagne en wolof et doit être de préférence de l’arbre du mur-au –blanc  (soump en wolof) ou le tamarin (Dakhar en wolof).
1-b Les différents types de Sabar
Le sabar est composé de différents types ; avec des fonctions spécifiques de rythmes différents. Ainsi on retrouve de nos jours,
leMbeng-Mbeng ou le m’bung – mbung qui sert d’accompagnement du mbalax ; le mbeng – mbengtungonee ou tungune moins haute ; le mbeng – mbeng bal qui est dédie aux basses ; le nder ou n’der qui est le plus allonge et joue le rôle de chef d’orchestre ;
lelambe, lamba ou thiol et choll, c’est l’ancêtre de tous les sabars. Il forme un son sourd ;
letalmbat ou gerongtalmbat, c’est le ténor du groupe ; le gerongyeguel ou gerong babas invente par Doudou  NdiayeCoumba Rose dans les années cinquante. Celui-ci est le plus récent ;
lekhine ou xin : de forme court et large ouvert et utilise par les Baye Fall disciples musulmans de  Cheikh Ibrahima Fall, il se rencontre souvent dans l’ensemble de percussions composes de m’bung – m’bung, nder, talmbat, tama et khine.

1-c Le déroulement du sabar
Comme  nous l’avons signalé plus haut, l’organisation du sabar incombe aux femmes. Il s’agit d’une circonstance de divertissement qui peut être organisée à tout moment et qui dure entre trois et quatre heures de temps. Afin d’en assumer les frais, les femmes se cotisent selon le système des tontines, en épargnant de l’argent qui sera utilisé, en cas de besoin, par un des membres du groupe pour organiser des événements. A tour de rôle, chaque femme organise le sabar ou le tànnëbéer, ce qui demande beaucoup de temps et d’énergie. Ces événements se déroulent à l’extérieur et il convient d’en choisir le lieu le plus adapté, une grande cour ou plus généralement une rue, dont l’on bloque l’accès à la circulation le jour venu. Les femmes se chargent de contacter les musiciens et de négocier leur participation. Elles devront également leur préparer un repas et louer les chaises pour l’assistance. Quand l’événement eut lieu la nuit, ce qui nécessite beaucoup de lumière, elles négocieront, contre rémunération, l’autorisation de se brancher sur l’électricité des maisons voisines. L’espace utilisé par les danseuses est délimité par les chaises disposées en cercle. Ainsi, les tambours ferment le cercle constitué par les chaises. Certains percussionnistes jouent debout – ceux qui ont les tambours les plus légers – tandis que d’autres sont assis. Le public occupe les chaises ; mais, celles-ci étant généralement en nombre insuffisantes, de nombreuses personnes se tiennent debout à l’arrière et aussi derrière les percussionnistes. Le public est composé de femmes, d’hommes et d’enfants de tous âges et de toutes classes sociales. Par ses cris et ses applaudissements, l’assistance encourage les danseuses et les félicite pour leur performance.
1-d Les fonctions du sabar avant et aujourd’hui
Le sabar permettait de communiquer de longue distance supérieure environ à 15km. Le sabar accompagne nombres d’occasion festive comme des baptêmes, mariages ou naissance. Ces derniers sont précédés pour certaines  d’un sabar ; des circoncisions avec le kasac en wolof ; la lutte traditionnelle,  dans cet événement, le sabar y joue un grand rôle du fait qu’il permet aux lutteurs de se glorifier de son pouvoir grâce aux louanges de ces derniers chantes par le percussionniste ; le jeu de faux lion. Pour celui-ci, on peut dire que ce jeu ne peut ce faire sans le sabar.ils vont de pair ; et les rituelles thérapeutiques (NDEUP) chez les lebous.En effet, cette cérémonie s’apparente a un sabar et vise à amadouer les esprits de la mer pour éviter que les pécheurs se noient.de même une danse des femmes y participe grâce aux instruments du sabar. Le sabar et ses instruments sont en relation avec le sacre et la magie (ndeup, Khoy, kankurang …)
2- L’EVOLUTION DU SABAR
Il ya une différence entre les sabars d’avant et aujourd’hui ‘hui. En effet, avant, les femmes qui dansaient le sabar portaient des tenus décents. Elles pouvaient danser du début jusqu'à la fin  sans montrer leurs parties intimes (exemple celles qui dansent le Ndawrabine).Mais aujourd’hui le sabar constitue une danse vulgaire du fait que les femmes portent des habits indécents et exposent leur corps comme bon leur semble. De plus, hommes et femmes en font un métier et le nombre ne cesse de s’accroitre. Aussi, aujourd’hui, avec l’évolution, il existe différents types de danses dans le sabar comme le thiakhagoune, le yousa, le goana etc.
Aussi, il faut noter que le sabar s’exporte grâce aux artistes innovateurs comme Youssou N’dour et percussionnistes comme le grand tambour major Doudou NdiayeCoumba Rose et la famille du Vieux Sing – Sing Faye.
3- PERSPECTIVES DU SABAR
Il faut qu’il est le plus vite possible des assises nationales pour redéfinir ce qui est culturellement présentable au monde et a léguer de nos génération futures. Car, il y va de notre responsabilité dans l’histoire.


II°) Le Yéla

Le Yéla est la musique des griots haalpulaars du Sénégal, il veut dire « vœux exaucés ». C'est la musique de rythme d’origine pulaar principalement des toucouleurs et a été créé dans le FoutaToro par les nobles guerriers mbegnu Ghâna avant le règne des deniankobé. C'est un ensemble de chants et de danses qui à l'origine servait de rituel pour rendre grâce à DIEU. Il a été confié et légué aux awlubé (gawlo au sing) ou griots dans la mesure où ils constituaient la caste chanteuse.

1)  Origines

Le Yela existe il y a de cela plus de cinq cent ans (+500 ans) c’est à l’époque du règne des Deniyanke de KollyTengella. Il accompagnait les Guerriers ou Seigneurs de guerres lors des campagnes d’occupation et des conflits. Le genre original s'appelait Alamary. Il est chanté pour augmenter la bravoure des Hommes, la témérité, l’Amitié fraternelle, le patriotisme, la dignité, l’union sacré des cœurs, l’intégration entre les peuples du Fouta (Soninké, Maures, Malinké). C’est la musique des veillées d’armes pour encourager et égayer les guerriers devant aller sur les champs de bataille. C’est une musique qui célèbre les hauts faits et gestes des hommes valeureux et vertueux. Mais dans presque tous les chants le mot Yéla revient dans les refrains. Le Yéla est l’une des musiques traditionnelles des Peuls du FoutaToro et du Boundou. Le Yéla existe il y a de cela plus de cinq cent ans (+500 ans) c’est à l’époque du règne de KollyTengella. Il accompagnait les Guerriers ou Seigneurs de guerres lors des campagnes d’occupation et des conflits. Il est chanté pour augmenter la bravoure des Hommes, la témérité, l’Amitié fraternelle, le patriotisme, la dignité, l’union, l’intégration.


2)  Evolution du Yéla :

Dans le temps et l’espace : Le Yéla, né au Fouta, a suivi le déplacement des populations pour s’implanter dans le Boundou, une partie du Sénégal oriental, où il a conquis ses lettres de noblesses. Il est appelé aussi Le Yéla du Boundou ou le YélaSysybé : « ModiHamadi ». (Il se réfère aux Sysybé de Boundou qui sont originaires de Souïma, un des quartiers de la Ville de Podor). Le Yéla est chanté par les femmes avec une mélodie ritournelle. La chanson était dédiée aux Sysybé du BoundouMalickSy. Puisé dans le patrimoine halpulaar, il a subi l’influence des langues du terroir comme le Soninké et le Mandingue. Yéla, yélé, la musique reste, la voix, l’air et la symphonie aussi qui appellent une dimension religieuse, culturelle et rituelle. Emmitouflé dans le patrimoine Bambaras et Soninkés, le lien est vite trouvé avec la grâce « sivolio », un rythme dédié aux chevaux de l’ancien Empire du Mandingue.
Le Yéla a pris aussi une dimension de festivités royales ainsi, selon Samba Coumba Bâ, le Yéla s’est imposé dans cette partie orientale du pays où il est synonyme de festivité royale. Ce folkoreAouloubé chante les gloires des Syssibés de Séoudé boulé Banné émanant des Gawloboundoukhobé. De plus, ce chant accompagnait les pionniers dans leur combat avec le cheval dépeint à travers sa noblesse, et la fidélité qui le caractérise dans son cheminement aux côtés de l’homme, de ses combats et ses voyages.

Son importance :
Ce chant qui sert à ragaillardir les jeunes lors des cérémonies de circoncision se retrouve aussi dans les mariages pour les bains rituels accompagnant les veillées douces au clair de lune. Les baptêmes sont aussi les moments d’expression de ce genre musical. Lors de ces fêtes, celui qui a la chance de se trouver dans le viseur des Gawlo (griots) peut-être rehaussé au sein de la communauté, mais il doit se montrer généreux avec ceux là qui chantent ses louanges.

Les personnes dont le Yéla est destiné :
Le Yéla n’est pas donné à n’importe qui et qu’il n’est pas aussi d’ailleurs chanté pour n’importe quelle personne. Il appartient à ceux qui le méritent, c’est-à-dire aux guerriers à l’époque : Aux  Sébbé (Satigui) dans « SuleyNjaay » lama ka Satigui, Samba Guelejegui
a été confié et légué aux awlubé (gawlo au sing) ou griots dans la mesure où ils constituaient la caste chanteuse. Le genre original s'appelait Alamary mais dans presque tous les chants le mot Yela revient dans les refrains. Le Yela est l’une des musiques traditionnelles des Peuls du FoutaToro et du Boundou.
Instruments du Yéla
Les instruments traditionnels qui accompagnent le Yéla sont les bolons, sortes de cruches longiformes utilisées avec une rythmique accompagnant la gestuelle des mains et des pieds, ample et saccadée, les danseurs magnifiques dans les grands boubous, tournoyant des foulards au dessus des têtes. Instrument  de musique de forme cylindrique, est une sorte de calebasse était à l’origine mis à la cheville pour donner du tonus. Il tend à disparaître.Il se joue avec des Koumbaly (tumundi ou oumaldou) (petites calebasses), Kooli (xoodusing) (guitares traditionnelles ou xaalam en wolof). Les bolong ne sortent lorsqu’il s’agit d’événement important c’est pourquoi, le Défunt FarbaSalySeck (paix en son âme) disait : « kumbalidili pali barapiyijambartuddoto, Foomurrujeyya, Kuldoreddujeye ».

3)   Perspective du Yéla dans le temps et dans l’espace
Le Yéla a longtemps rayonné dans le Fouta et le Boundou, il est chanté, connaît de plus en de succès au Sénégal et il est même s’exporté grâce à l’artiste compositeur, chanteur BaabaMaal (surnommé le roi du Yéla), principal précurseur. Le Yéla du Boundou grâce ses rythme et danse des festivités royales a été proposée au patrimoine immatériel de l’UNESCO avec la chanson de geste.Le Yéla sonne comme l’ancêtre du  reggae… Aujourd’hui des concerts et des soirées de Yéla sont au programme dans les grandes événements nationaux comme internationaux par exemple le Yéla a été joué au FESMAN de Dakar en 2010, lors du Sommet de la Francophonie de Dakar au Grand Théâtre en 2015. Les associations peule de la France et de la Diaspora organisent et planifient leurs activités une veillée culturelle où le Yéla prend une place importante.
Quelques chanteurs de Yéla connus au niveau national et international
BaabaMaal, LammaBinetaSeck (Kura Lelel, MaimounaFayel, Kumba NjegundiBayo, AissataBineta), BouryAwloubé Sam, DiguiKobaraSeck, KanelDiop, Mansour Seck, Sabbé Mbaye, BoudyCoumbaThiédelSeck.

Bref, le Yella fait aujourd’hui la fierté de l’identité de la culture des Toucouleurs car il a connu un succès au niveau national (plus particulièrement dans la Vallée du Fleuve Sénégal) comme international(en Europe et au Etats Unis d’Amérique) exporté par la diaspora africaine et/ou surtout sénégalo-mauritanienne.


III) Le Jambadong
Le jambadong, littéralement appelé « la danse des feuilles » chez les Mandingues, il marque la fin du passage au bois sacré des jeunes initiés (circoncis). En fait, c’est la cérémonie marquant le passage de l’enfance à l’âge adulte à l’occasion de la sortie de la circoncision des garçons âgés le plus souvent de six à onze ans. Cependant, la cérémonie du jambadong fait l’objet de notre travail. Ainsi, notre étude s’articulera sur trois parties : d’abord rappeler ses origines dans le temps et dans l’espace, son évolution et enfin ses perspectives.
1) Les origine dujambadong
Le jambadong présente diverses origines remontant dans l’Empire de Mali (XIVème siècle) où il a marqué sa chaleur, ainsi par le flux de déplacement des Mandingues vers le Sud-ouest à la province de la Casamance (Gaabu).
Par ailleurs, les Mandingues expliquent dans leurs mythologies prétendent que la circoncision était le résultat d’un désordre. Pour enfreindre ce désordre, le Génie incite aux jeunes garçon et filles d’être respectivement circoncis et excisées. La cérémonie du jambadong consiste donc a la purification des jeunes initiés une fois sortis du bois sacré .
2) évolution
La cérémonie originelle du jambadong accompagnant de masques, komo qui est l’ancêtre du kankurang. Le komo est une société secrète de chasseurs dont l’organisation et la pratique ont activement participé à l’émergence de la culture Mandingue. Depuis ses origines dans l’empire du Mali, il a toujours entouré la période du Kankurang lors de ses apparitions par des gestes du feuillage appelés la danse des feuilles. Les apparitions du jambadong que les initiés s’exécutent avec le kankurang en magnant des coupes coupes et en poussant des cris ardents. Les nouveaux initiés armés de bâtons et de feuilles de rôniers marquent la cadence de leur refrain et tambours.
Ainsi, avec le déplacement des mandingues vers le sud ouest du Sénégal, d’autres pratiques commencèrent à voir le jour notamment en Casamance ou le jambadong occupe une place importante dans la société mandingue et d’autres ethnies comme le Diola, les Peuls Fouladou, les Manjack… Le jambadong a longtemps cheminé avec cet être mythique qui est le kankurang. On retrouve ces cérémonies rituelles à Ziguinchor, dans les régions de Kolda (Sédhiou et Kolda) et à Thiès plus précisément à Mbour ou une forte communauté mandingue y vivant, organise à la même période qu’en Casamance le jambadong.
Ces étapes du jambadong sont un moment de joie que parents, amis et alliées en générale viennent partager avec la famille des jeunes circoncis. Cette danse des feuilles accompagnée de  Kankurang, de kabbu (griot) et plus de cinq kanrou le jaaf (de couleur marron), il fait de tronc d’arbre, celui-ci ne sentit rien (ivre). Les initiés vont au lavage accompagnés de jeunes filles et garçons. Les filles portaient de pantalons panfflés (cayya en wolof), des pagnes souvent teints de couleur bleue marine avec des traces blanches, tee-shirts et des colliers de perles traversant de l’épaule au dos et aussi des griffes aux chevilles.
3) Perspectives
Le Jambadong, cette danse endiablée du Kankurang a prouvé sa pertinence parmi les différentes rites et pratiques traditionnelles existantes de nos jours malgré la mondialisation. Son originalité a fait que le Kankurang est aujourd’hui ajouté à liste du Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO. Il comporte une dimension sacrée, religieuse, culturelle,… a fait de lui patrimoine mondial de l’UNESCO. La cérémonie du Kankurang fait parti maintenant de la saison touristique au Sénégal, elle est organisée à Mbour, Ziguinchor, Kolda, Sédhiou et dans d’autres localités du pays comme à Saint Louis et Dakar.

Retenons que le jambadong est la danse accompagnant le kankurang et la aussi la cérémonie rituelle de la purification des nouveaux circoncis à un point d’eau. C’est la marque du passage de l’enfance à l’âge adulte : fin de la circoncision.

CONCLUSION GENERALE
En définitive, la musique traditionnelle du Sénégal dans sa diversité rythmique se conjuguait au champ de travail et champs d’incantation subsiste de nos jours. Certaines peuples du Sénégal Afrique et Indiens d’Amérique pour agir sur les personnes d’animaux et les choses, il existe de nombreuse incantation contre la morsure serpent communiquer avec les animaux, assouvir la colère et la vengeance chez les « Cubalbe » pour obtenir la pluie chez les Sérér avec le Xooy.


WEBOGRAPHIE :
Catégorie : (visité le 09/03/2015)
*                 http://websabar.free.fr/html/sabar.htm.

BIBLIGRAPHIE :
*                 catalogue sur l’atelier de l’évolution de la musique sénégalaise (intervention Dr. Ndour, professeur aux Métiers des Arts et de la Culture)
AUDIOVISUEL :
*             Film documentaire sur le kankurang en Casamance et en Mbour sur la RTS1(Sénégal) ;
*             Emission  Galayabe sur la 2stv (1ère télévision privée du Sénégal), animée par El Hadji Béckaye Mbaye et Keb’sThiam en 2008, les griots vedettes  toucouleurs étaient les invités pour FarbaSalySeck et LammaBinta ;
                         
*             Enregistrement audio fait par Mme NdéyeNdattéFallSow à un des griots de Saint Louis dans le quartier de Leona.























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