La
musique sénégalaise traditionnelle : le Sabar, le
Yéla et le Jambadong
PLAN
INTRODUCTION
GENERALE
I / Le Sabar
1/ Origines
1-a) La fabrication du sabar
1-b) Les différents instruments du sabar
1-c)
Le déroulement du sabar
1-d) Les fonctions du sabar avant et aujourd’hui
2/ Evolution
3/ Perspectives
II/ Le Yéla
1/ Origines
2/ Evolution
3/ Perspectives
III Le Jambadong
1/ Origines
2 /Evolution
3/ Perspectives
CONCLUSION
GENERALE
SOURCES :
INTRODUCTION GENERALE
La musique existe dés le commencement des temps et ses origines se
confondent avec celle de l’homme. De cet art primitif dont le rythme est l’un
des premiers éléments les plus anciens de la civilisation du globe, elle garde
en core quelque trace et certaines pratiques. Le Sénégal fait parti des pays
d’Afrique détenant une riche diversité culturelle musicale qui, dans son
ensemble nous retrouvons des rites et traditions musicales distinctes. En
effet, la musique sénégalaise dans sa diversité rythmique traditionnelle fait
l’objet de notre travail plu particulièrement le Sabar, le Yéla et le
Jambadong.
I)
LE
SABAR
1- ORIGINE DU SABAR
D’origine
sérère, le sabar signifie à la fois un instrument de percussion, un style de
musique, une forme de danse sensuelle (appelé lambeul en wolof) et une fête
traditionnelle plus populaire au Sénégal et en Gambie. Le Sabar est un
terme générique qui désigne à la fois la circonstance, l’ensemble des tambours
qui servent à l’animer et l’un des rythmes qui y sont joués chez les Wolof. La
musique et la danse ont une forte valeur sociale ; elles accompagnent tous
les événements qui rassemblent une communauté. Chez les Wolofs, ce sont les
femmes qui détiennent la plus grande partie de ce patrimoine musical. Elles
participent aux différentes étapes de la vie, le baptême, la scarification des
filles, le mariage… Si l’événement se déroule le jour, après la prière de
l’après-midi (Timis), il s’appelle sabar ; s’il a lieu
le soir, il se nomme tànnëbéer.
1 -a La fabrication du
sabar
Les
boisseliers (laobes en wolof) spécialistes dans le travail du bois, se chargent
de la forme et de la transformation du sabar. Ainsi, l’huile de palme rend
éclat le corps de l’instrument. Le fut est construit d’une membrane en peau de
chèvre rasée, tendue par des cordes, des minces en coton et des chevilles en
bois, aux nombres de sept en référence aux sept instruments qui composent
généralement l’ensemble musicale. Et le griot se charge de l’assemblage.
La
fine baguette appelée galagne en wolof et doit être de préférence de l’arbre du
mur-au –blanc (soump en wolof) ou le
tamarin (Dakhar en wolof).
1-b Les différents
types de Sabar
Le
sabar est composé de différents types ; avec des fonctions spécifiques de
rythmes différents. Ainsi on retrouve de nos jours,
leMbeng-Mbeng
ou le m’bung – mbung qui sert d’accompagnement du mbalax ; le mbeng –
mbengtungonee ou tungune moins haute ; le mbeng – mbeng bal qui est dédie
aux basses ; le nder ou n’der qui est le plus allonge et joue le rôle de
chef d’orchestre ;
lelambe,
lamba ou thiol et choll, c’est l’ancêtre de tous les sabars. Il forme un son
sourd ;
letalmbat
ou gerongtalmbat, c’est le ténor du groupe ; le gerongyeguel ou gerong
babas invente par Doudou NdiayeCoumba
Rose dans les années cinquante. Celui-ci est le plus récent ;
lekhine ou xin :
de forme court et large ouvert et utilise par les Baye Fall disciples musulmans
de Cheikh Ibrahima Fall, il se rencontre
souvent dans l’ensemble de percussions composes de m’bung – m’bung, nder,
talmbat, tama et khine.
1-c Le déroulement du
sabar
Comme nous l’avons signalé plus haut,
l’organisation du sabar incombe aux femmes. Il s’agit d’une
circonstance de divertissement qui peut être organisée à tout moment et qui
dure entre trois et quatre heures de temps. Afin d’en assumer les frais, les
femmes se cotisent selon le système des tontines, en épargnant de l’argent qui sera
utilisé, en cas de besoin, par un des membres du groupe pour organiser des
événements. A tour de rôle, chaque femme organise le sabar ou le tànnëbéer,
ce qui demande beaucoup de temps et d’énergie. Ces événements se déroulent à
l’extérieur et il convient d’en choisir le lieu le plus adapté, une grande cour
ou plus généralement une rue, dont l’on bloque l’accès à la circulation le jour
venu. Les femmes se chargent de contacter les musiciens et de négocier leur
participation. Elles devront également leur préparer un repas et louer les
chaises pour l’assistance. Quand l’événement eut lieu la nuit, ce qui nécessite
beaucoup de lumière, elles négocieront, contre rémunération, l’autorisation de
se brancher sur l’électricité des maisons voisines. L’espace utilisé par les
danseuses est délimité par les chaises disposées en cercle. Ainsi, les tambours
ferment le cercle constitué par les chaises. Certains percussionnistes jouent
debout – ceux qui ont les tambours les plus légers – tandis que d’autres sont
assis. Le public occupe les chaises ; mais, celles-ci étant généralement
en nombre insuffisantes, de nombreuses personnes se tiennent debout à l’arrière
et aussi derrière les percussionnistes. Le public est composé de femmes,
d’hommes et d’enfants de tous âges et de toutes classes sociales. Par ses cris
et ses applaudissements, l’assistance encourage les danseuses et les félicite
pour leur performance.
1-d Les fonctions du sabar avant et
aujourd’hui
Le sabar
permettait de communiquer de longue distance supérieure environ à 15km. Le
sabar accompagne nombres d’occasion festive comme des baptêmes, mariages ou
naissance. Ces derniers sont précédés pour certaines d’un sabar ; des circoncisions avec le
kasac en wolof ; la lutte traditionnelle,
dans cet événement, le sabar y joue un grand rôle du fait qu’il permet
aux lutteurs de se glorifier de son pouvoir grâce aux louanges de ces derniers
chantes par le percussionniste ; le jeu de faux lion. Pour celui-ci, on
peut dire que ce jeu ne peut ce faire sans le sabar.ils vont de pair ; et
les rituelles thérapeutiques (NDEUP) chez les lebous.En effet, cette cérémonie
s’apparente a un sabar et vise à amadouer les esprits de la mer pour éviter que
les pécheurs se noient.de même une danse des femmes y participe grâce aux
instruments du sabar. Le sabar et ses instruments sont en relation avec le
sacre et la magie (ndeup, Khoy, kankurang …)
2- L’EVOLUTION DU SABAR
Il ya une différence entre les sabars
d’avant et aujourd’hui ‘hui. En effet, avant, les femmes qui dansaient le
sabar portaient des tenus décents. Elles pouvaient danser du début jusqu'à la
fin sans montrer leurs parties intimes
(exemple celles qui dansent le Ndawrabine).Mais aujourd’hui le sabar constitue
une danse vulgaire du fait que les femmes portent des habits indécents et
exposent leur corps comme bon leur semble. De plus, hommes et femmes en font un
métier et le nombre ne cesse de s’accroitre. Aussi, aujourd’hui, avec
l’évolution, il existe différents types de danses dans le sabar comme le
thiakhagoune, le yousa, le goana etc.
Aussi, il faut noter que le sabar
s’exporte grâce aux artistes innovateurs comme Youssou N’dour et
percussionnistes comme le grand tambour major Doudou NdiayeCoumba Rose et la
famille du Vieux Sing – Sing Faye.
3- PERSPECTIVES DU SABAR
Il faut qu’il est
le plus vite possible des assises nationales pour redéfinir ce qui est
culturellement présentable au monde et a léguer de nos génération futures. Car,
il y va de notre responsabilité dans l’histoire.
II°) Le Yéla
Le Yéla est
la musique des griots haalpulaars du Sénégal, il veut dire « vœux exaucés ». C'est la musique de
rythme d’origine pulaar principalement des toucouleurs et a été créé dans le FoutaToro par
les nobles guerriers mbegnu Ghâna avant le règne des deniankobé. C'est un
ensemble de chants et de danses qui à l'origine servait de rituel pour rendre
grâce à DIEU. Il a été confié et légué aux awlubé (gawlo au sing) ou griots
dans la mesure où ils constituaient la caste chanteuse.
1) Origines
Le Yela
existe il y a de cela plus de cinq cent ans (+500 ans) c’est à l’époque du
règne des Deniyanke de KollyTengella. Il accompagnait les Guerriers ou
Seigneurs de guerres lors des campagnes d’occupation et des conflits. Le genre
original s'appelait Alamary. Il est chanté pour augmenter la
bravoure des Hommes, la témérité, l’Amitié fraternelle, le patriotisme, la
dignité, l’union sacré des cœurs, l’intégration entre les peuples du Fouta
(Soninké, Maures, Malinké). C’est la musique des veillées d’armes pour
encourager et égayer les guerriers devant aller sur les champs de bataille.
C’est une musique qui célèbre les hauts faits et gestes des hommes valeureux et
vertueux.
Mais dans
presque tous les chants le mot Yéla revient dans les refrains. Le Yéla est
l’une des musiques traditionnelles des Peuls du FoutaToro et du Boundou. Le
Yéla existe il y a de cela plus de cinq cent ans (+500 ans) c’est à l’époque du
règne de KollyTengella. Il accompagnait les Guerriers ou Seigneurs de guerres
lors des campagnes d’occupation et des conflits. Il est chanté pour augmenter
la bravoure des Hommes, la témérité, l’Amitié fraternelle, le patriotisme, la
dignité, l’union, l’intégration.
2) Evolution du Yéla :
Dans le temps et l’espace :
Le Yéla, né au Fouta, a suivi le déplacement des populations pour s’implanter
dans le Boundou, une partie du Sénégal oriental, où il a conquis ses lettres de
noblesses. Il est appelé aussi Le Yéla du Boundou
ou le YélaSysybé : « ModiHamadi ». (Il se
réfère aux Sysybé de Boundou qui sont originaires de Souïma, un des quartiers
de la Ville de Podor). Le Yéla est chanté par les femmes avec
une mélodie ritournelle. La chanson était dédiée aux Sysybé du BoundouMalickSy.
Puisé dans le patrimoine halpulaar, il a subi l’influence des langues du
terroir comme le Soninké et le Mandingue. Yéla, yélé, la musique reste, la
voix, l’air et la symphonie aussi qui appellent une dimension religieuse, culturelle
et rituelle. Emmitouflé dans le patrimoine Bambaras et Soninkés, le lien est
vite trouvé avec la grâce « sivolio », un rythme dédié aux chevaux de
l’ancien Empire du Mandingue.
Le
Yéla a pris aussi une dimension de festivités royales ainsi, selon Samba Coumba
Bâ, le Yéla s’est imposé dans cette partie orientale du pays où il est synonyme
de festivité royale. Ce folkoreAouloubé chante les gloires des Syssibés de
Séoudé boulé Banné émanant des Gawloboundoukhobé. De plus, ce chant
accompagnait les pionniers dans leur combat avec le cheval dépeint à travers sa
noblesse, et la fidélité qui le caractérise dans son cheminement aux côtés de
l’homme, de ses combats et ses voyages.
Son
importance :
Ce chant qui sert à ragaillardir les
jeunes lors des cérémonies de circoncision se retrouve aussi dans les mariages
pour les bains rituels accompagnant les veillées douces au clair de lune. Les
baptêmes sont aussi les moments d’expression de ce genre musical. Lors de ces
fêtes, celui qui a la chance de se trouver dans le viseur des Gawlo (griots)
peut-être rehaussé au sein de la communauté, mais il doit se montrer généreux
avec ceux là qui chantent ses louanges.
Les
personnes dont le Yéla est destiné :
Le Yéla
n’est pas donné à n’importe qui et qu’il n’est pas aussi d’ailleurs chanté pour
n’importe quelle personne. Il appartient à ceux qui le méritent, c’est-à-dire
aux guerriers à l’époque : Aux
Sébbé (Satigui) dans « SuleyNjaay » lama ka Satigui, Samba
Guelejegui
a été confié et légué aux awlubé
(gawlo au sing) ou griots dans la mesure où ils constituaient la caste
chanteuse. Le genre original s'appelait Alamary mais dans presque
tous les chants le mot Yela revient dans les refrains. Le Yela est l’une des
musiques traditionnelles des Peuls du FoutaToro et du Boundou.
Instruments
du Yéla
Les
instruments traditionnels qui accompagnent le Yéla sont les bolons, sortes de
cruches longiformes utilisées avec une rythmique accompagnant la gestuelle des
mains et des pieds, ample et saccadée, les danseurs magnifiques dans les grands
boubous, tournoyant des foulards au dessus des têtes. Instrument de musique de forme cylindrique, est une
sorte de calebasse était à l’origine mis à la cheville pour donner du tonus. Il
tend à disparaître.Il se joue avec des Koumbaly (tumundi
ou oumaldou) (petites calebasses), Kooli (xoodusing) (guitares
traditionnelles ou xaalam en wolof). Les bolong ne sortent lorsqu’il s’agit
d’événement important c’est pourquoi, le Défunt FarbaSalySeck (paix en son âme)
disait : « kumbalidili pali barapiyijambartuddoto, Foomurrujeyya,
Kuldoreddujeye ».
3)
Perspective du Yéla dans le temps et dans l’espace
Le Yéla
a longtemps rayonné dans le Fouta et le Boundou, il est chanté, connaît de
plus en de succès au Sénégal et il est même s’exporté grâce à l’artiste
compositeur, chanteur BaabaMaal (surnommé le roi du
Yéla), principal
précurseur. Le Yéla du Boundou grâce ses rythme et danse
des festivités royales a été proposée au patrimoine immatériel de l’UNESCO avec
la chanson de geste.Le Yéla sonne comme l’ancêtre du reggae… Aujourd’hui des concerts et des soirées
de Yéla sont au programme dans les grandes événements nationaux comme
internationaux par exemple le Yéla a été joué au FESMAN de Dakar en 2010, lors
du Sommet de la Francophonie de Dakar au Grand Théâtre en 2015. Les
associations peule de la France et de la Diaspora organisent et planifient
leurs activités une veillée culturelle où le Yéla prend une place importante.
Quelques chanteurs
de Yéla connus au niveau national et international
BaabaMaal, LammaBinetaSeck (Kura
Lelel, MaimounaFayel, Kumba NjegundiBayo, AissataBineta), BouryAwloubé Sam,
DiguiKobaraSeck, KanelDiop, Mansour Seck, Sabbé Mbaye, BoudyCoumbaThiédelSeck.
Bref, le Yella fait aujourd’hui la fierté de l’identité de la culture des Toucouleurs car il a connu un succès au niveau national (plus particulièrement dans la Vallée du Fleuve Sénégal) comme international(en Europe et au Etats Unis d’Amérique) exporté par la diaspora africaine et/ou surtout sénégalo-mauritanienne.
III) Le Jambadong
Le jambadong, littéralement appelé « la danse
des feuilles » chez les Mandingues, il marque la fin du passage au bois
sacré des jeunes initiés (circoncis). En fait, c’est la cérémonie marquant le
passage de l’enfance à l’âge adulte à l’occasion de la sortie de la circoncision
des garçons âgés le plus souvent de six à onze ans. Cependant, la cérémonie du
jambadong fait l’objet de notre travail. Ainsi, notre étude s’articulera sur
trois parties : d’abord rappeler ses origines dans le temps et dans
l’espace, son évolution et enfin ses perspectives.
1) Les origine dujambadong
Le jambadong présente diverses origines remontant
dans l’Empire de Mali (XIVème siècle) où il a marqué sa chaleur, ainsi par le
flux de déplacement des Mandingues vers le Sud-ouest à la province de la Casamance
(Gaabu).
Par ailleurs, les Mandingues expliquent dans leurs
mythologies prétendent que la circoncision était le résultat d’un désordre.
Pour enfreindre ce désordre, le Génie incite aux jeunes garçon et filles d’être
respectivement circoncis et excisées. La cérémonie du jambadong consiste donc a
la purification des jeunes initiés une fois sortis du bois sacré .
2)
évolution
La cérémonie originelle du jambadong accompagnant de
masques, komo qui est l’ancêtre du kankurang. Le komo est une société secrète
de chasseurs dont l’organisation et la pratique ont activement participé à
l’émergence de la culture Mandingue. Depuis ses origines dans l’empire du Mali,
il a toujours entouré la période du Kankurang lors de ses apparitions par des
gestes du feuillage appelés la danse des feuilles. Les apparitions du jambadong
que les initiés s’exécutent avec le kankurang en magnant des coupes coupes et
en poussant des cris ardents. Les nouveaux initiés armés de bâtons et de
feuilles de rôniers marquent la cadence de leur refrain et tambours.
Ainsi, avec le déplacement des mandingues vers le
sud ouest du Sénégal, d’autres pratiques commencèrent à voir le jour notamment
en Casamance ou le jambadong occupe une place importante dans la société
mandingue et d’autres ethnies comme le Diola, les Peuls Fouladou, les Manjack…
Le jambadong a longtemps cheminé avec cet être mythique qui est le kankurang.
On retrouve ces cérémonies rituelles à Ziguinchor, dans les régions de Kolda
(Sédhiou et Kolda) et à Thiès plus précisément à Mbour ou une forte communauté
mandingue y vivant, organise à la même période qu’en Casamance le jambadong.
Ces étapes du jambadong sont un moment de joie que
parents, amis et alliées en générale viennent partager avec la famille des jeunes
circoncis. Cette danse des feuilles accompagnée de Kankurang, de kabbu (griot) et plus de cinq
kanrou le jaaf (de couleur marron), il fait de tronc d’arbre, celui-ci ne
sentit rien (ivre). Les initiés vont au lavage accompagnés de jeunes filles et
garçons. Les filles portaient de pantalons panfflés (cayya en wolof), des
pagnes souvent teints de couleur bleue marine avec des traces blanches,
tee-shirts et des colliers de perles traversant de l’épaule au dos et aussi des
griffes aux chevilles.
3)
Perspectives
Le Jambadong, cette danse endiablée
du Kankurang a prouvé sa pertinence parmi les différentes rites et pratiques
traditionnelles existantes de nos jours malgré la mondialisation. Son
originalité a fait que le Kankurang est aujourd’hui ajouté à liste du
Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO. Il comporte une dimension sacrée,
religieuse, culturelle,… a fait de lui patrimoine mondial de l’UNESCO. La
cérémonie du Kankurang fait parti maintenant de la saison touristique au
Sénégal, elle est organisée à Mbour, Ziguinchor, Kolda, Sédhiou et dans
d’autres localités du pays comme à Saint Louis et Dakar.
Retenons que le jambadong est la danse accompagnant le kankurang et la aussi la cérémonie rituelle de la purification des nouveaux circoncis à un point d’eau. C’est la marque du passage de l’enfance à l’âge adulte : fin de la circoncision.
Retenons que le jambadong est la danse accompagnant le kankurang et la aussi la cérémonie rituelle de la purification des nouveaux circoncis à un point d’eau. C’est la marque du passage de l’enfance à l’âge adulte : fin de la circoncision.
CONCLUSION GENERALE
En définitive, la musique traditionnelle du Sénégal dans sa diversité rythmique se conjuguait au champ de travail et champs d’incantation subsiste de nos jours. Certaines peuples du Sénégal Afrique et Indiens d’Amérique pour agir sur les personnes d’animaux et les choses, il existe de nombreuse incantation contre la morsure serpent communiquer avec les animaux, assouvir la colère et la vengeance chez les « Cubalbe » pour obtenir la pluie chez les Sérér avec le Xooy.
WEBOGRAPHIE :
Catégorie : (visité le 09/03/2015)

BIBLIGRAPHIE :

AUDIOVISUEL :



|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire